mercredi 28 octobre 2020

Une année de grand changement. 12 au 25 octobre 2020

 Lundi 12 octobre : Nous reprenons route en direction de Caen pour le nouveau rendez-vous chez le cardiologue qui confie un appareil de contrôle à Jp pour détecter une éventuelle apnée du sommeil. Puis nous nous rendons à nouveau chez Ikea pour acheter les supports de l'étagère de la buanderie. 
Ce soir, Jp branche ses électrodes pour la nuit en espérant très fort que le résultat sera négatif. 


Mardi 13 octobre:   Nous partons sur Lisieux afin de récupérer mon ancienne Unité centrale remise en état. Nous essayons de trouver des solutions pour le disque dur externe qui a probablement été infecté par un virus, un propriétaire inconnu s'est invité dans le système ... que notre technicien a du mal à exclure...  L'informatique n'est décidément pas à la portée du premier venu 😢 
Puis nous repartons encore vers Caen. Jp rapporte l'appareil de contrôle chez le cardiologue... Le résultat n'est hélas pas réjouissant. Une importante apnée du sommeil est confirmée avec tous les risques que cela présente: AVC, Infarctus, mauvaise oxygénation du sang et même décès si la respiration n'est pas reprise. Le cardiologue contacte donc tout de suite un prestataire de service qui intervient à domicile pour proposer un traitement PPC, c'est à dire un appareil de ventilation à pression positive continue.  
Nous devrions être contactés sous peu par ce prestataire. 



Mercredi 14 octobre: Nous restons aujourd'hui à la maison. L'ébéniste devait nous rapporter ce matin les bibliothèques mais il ne pourra venir que demain matin. Il a pris du retard et l'enduit doit sécher.  Nous avions prévu de partir demain pour Bezons afin d'être sur place pour le Rv de vendredi chez le notaire pour la succession de Papa. Nous ne partirons que vendredi matin. 
Jp continue à travailler sur le placard de la salle de bains qui lui a donné bien des soucis puis nous organisons l'espace du bureau pour réceptionner demain matin nos bibliothèques.  



Jeudi 15 octobre: L'ébéniste nous rapporte comme convenu nos bibliothèques. Il a fait un travail formidable et elles sont comme neuves. Il emporte le vaisselier que nous souhaitons faire patiner dans la même teinte que celui que nous avons acheté dans une brocante d'Honfleur. Il nous faudra toutefois être patients. Il ne pense pas pouvoir nous le rapporter avant un mois.  
Il me reste à procéder au nettoyage, à vider une bonne quinzaine de cartons et à réorganiser le rangement dans la bibliothèque du salon et l'armoire du bureau. Pendant ce temps, Jp procède à la réorganisation et au branchement bien propre du matériel informatique. Un travail qui nous prend une bonne partie de la journée mais nous sommes très satisfaits du résultat. Nos deux pièces salon et bureau prennent vraiment forme et constituent un bel ensemble très chaleureux. 





Après ce gros travail, je me lance dans la préparation de trois gâteaux aux pommes pour le goûter de demain après le rendez-vous chez le notaire.
  J'espère profiter de ce moment qui nous réunira tous les trois avec Maman, pour discuter tranquillement des difficultés que nous rencontrons pour le maintien de Maman dans sa maison. Christine est loin, Didier et Catherine partirons dans moins de deux ans en  Provence et je mesure à quel point la situation est fragile pour nous également. Nous ne sommes pas à l'abri d'un souci  de santé qui nous empêcherait d'aller voir Maman, de lui faire des courses ... 








Vendredi 16 octobre: Nos petites valises chargées, nous emportons les gâteaux, du cidre et du poiré et nous prenons la direction de Bezons. C'est Didier et Christine qui vont chercher Maman. Jp me dépose devant l'étude notariale. Il rejoint Edouard à Nanterre afin de lui rapporter une caisse de livres et de boire un verre avec lui puisqu'il est en télétravail. Didier et Christine me rejoignent avec Maman qui malgré le froid n'a revêtu qu'une petite veste. 
Le rendez-vous, qui dure plus d'une heure, se passe bien, la notaire essaie de détendre l'atmosphère avec humour mais cet entretien est malgré tout une épreuve pour Maman qui malgré sa mauvaise audition, comprend bien que nous évoquons des sujets qui fâchent. Maman conserve bien entendu l'usufruit de la maison mais nous demandons  ce qui se passerait si nous devions la vendre pour permettre à Maman d'entrer en résidence sénior ou en maison de retraite.  
A l'issue du rendez-vous, nous pensions nous réunir chez Maman pour partager le goûter mais Catherine n'a pas eu le courage de venir. Elle préférerait que nous la rejoignions à Herblay. Didier et Christine partent devant et comme Jp est revenu, nous les rejoindrons avec Maman. Mais Maman ne retrouve pas les clefs de la maison qu'elle vient pourtant d'utiliser. Elle s'énerve et finit par fondre en larmes. Il y a eu trop de pression pour elle. Ce rendez-vous chez le notaire est la concrétisation du décès de Papa. 

Nous finissons par retrouver les clefs et nous partons pour Herblay. Nous nous attablons autour du goûter normand et nous tentons d'aborder le sujet qui nous préoccupe. Nous expliquons à Maman que compte tenu de notre éloignement et du prochain éloignement de Didier, il deviendra difficile de nous rendre aussi disponibles que nécessaire dans les années à venir. Maman ne fait plus aucune course, elle refuse la livraison des courses ou des repas à domicile, elle voudrait réduire l'aide à domicile au lieu de l'augmenter, nous rencontrons certains jours beaucoup de difficultés pour la joindre, ce qui est une grosse source d'inquiétude, surtout si nous sommes loin, l'entretien de la maison et du jardin devient très compliqué , Maman refuse de porter son bracelet relié à un service d'assistance, elle refuse de venir passer quelques jours chez Christine ou chez nous, ce qui nous oblige à rester toujours sur le qui-vive... Nous souhaiterions tous les trois qu'elle accepte de visiter des résidences sénior, elle pourrait y vivre en toute autonomie près de l'un d'entre nous et elle y serait beaucoup plus en sécurité. Mais Maman se ferme complétement, elle n'a pas envie de nous entendre, elle regrette d'être venue et veut rentrer chez elle.  Même si nous nous attendions à sa réaction, nous sommes malgré tout fort dépités. Nous devons Jp et moi ramener Maman alors que j'aurais été contente de passer la soirée avec Didier et Christine . Nous n'avons pas été réunis depuis les obsèques de Papa. 

De retour à Bezons, Maman va se coucher sans dîner. Sa journée a été très éprouvante. Elle ne nous parle à aucun moment de la tentative de discussion de cet après-midi.  

En raison de l'aggravation de la pandémie, un couvre feu a été instauré à compter de minuit dans 8 grandes métropoles dont paris et la région parisienne. Pendant au minimum 4 semaines, les sorties sont interdites entre 21h et 6 h du matin !  




Samedi 17 octobre:  J'ai eu bien du mal à m'endormir hier soir, trop contrariée par les événements de la journée.  Je ne me sens pas à l'aise dans la maison et dans l'ancienne chambre de Papa dans laquelle nous dormons. La maison est devenue bien vieillotte et nécessiterait un bon coup de jeune. Je me souviens que lorsque nous y avons emménagé  en 1971, je la trouvais grande et confortable en comparaison de notre appartement de Villeneuve le Garenne. J'avais l'impression d'être à la campagne ! J'adorais ma chambre avec son alcôve, je trouvais la salle de bains chaleureuse, le sous sol immense. 
Des années plus tard, nous avons toujours eu beaucoup de plaisir à nous y retrouver en famille avec mes frère et sœur,  nos conjoints respectifs puis nos enfants... Les réveillons de Noël étaient toujours de grands moments de réjouissance et Maman parvenait à préparer des couchages pour tout le monde. 
Mais aujourd'hui, la maison me parait bien triste et plus petite que dans mon souvenir comme si avec le temps, comme dans l'Ecume des jours, mon univers se rétrécissait , proportionnellement au temps qui nous reste ! 
Mes séjours pourtant très courts me pèsent de plus en plus même s'ils me permettent de passer du temps avec Maman. 

Maman m'appelle car elle ne parvient plus à fermer la porte d'entrée du côté buanderie. J'essaie effectivement d'actionner la clef sans succès. Jp parvient heureusement à effectuer la réparation en limant et en huilant la serrure.  A chacun de nos passages, de petites réparations de ce genre sont nécessaires. 
 
Nous avons déjeuné Jp et moi assez tard et nous ne sommes pas affamés. Mais Maman commence à surveiller l'heure vers 11h30. Elle qui était tellement énervée quand Papa voulait manger à midi sonnantes, elle ne nous attend pas et se fait réchauffer un petit plat cuisiné entamé la veille. Un plat lui fait souvent deux repas ! Nous partons donc lui faire des courses car son réfrigérateur est bien vide une fois de plus. 
A notre retour, comme d'habitude je range les plats cuisinés et les desserts en fonction de la date de péremption et je jette les produits périmés.  Tous les produits frais tels tomates, avocats, œufs, salade, radis ... restent dans le réfrigérateur car maman ne cuisine plus du tout. Elle ne consomme que les plats cuisinés et les desserts prêts à consommer. Lorsque je lui fais remarquer, elle s'énerve. 

Nous partons ensuite à Domont afin de voir la Maman de Jp qu'il n'a pas vu depuis plusieurs semaines. Nous achetons une tarte et une bouteille de cidre. La visite n'est pas du tout réjouissante. La Maman de Jp est vraiment très diminuée. Elle est couchée lorsque nous arrivons et Michèle l'aide à se lever, mais elle semble n'éprouver aucun plaisir à notre visite.  Elle est complétement repliée sur elle-même et ne sourit à aucun moment.  Michèle dit qu'elle ne peut s'accorder le droit de sourire car elle doit montrer à qui lui rend visite qu'elle est en deuil de son mari . Que penseraient les gens, sa famille, les voisins si elle souriait !  A peine sa part de tarte terminée, elle manifeste le souhait de retourner se coucher dans le lit qui dans le salon. Jp s'approche gentiment de son lit pour lui parler et passer un moment avec elle pendant que nous discutons avec Michèle mais comme elle n'entend pas ce que nous disons, elle en est contrariée et décide de se relever, de peur que nous parlions d'elle derrière son dos. Une fois levée, elle ne sait pas trop ce qu'elle veut faire ! Son attitude fait penser à des petits caprices proches de ceux des enfants ! Il faut en permanence s'occuper d'elle !
J'admire vraiment Michèle qui vit tout cela au quotidien, même si Jp a été quelque peu contrarié qu'elle la fasse sortir sans l'approbation de la fratrie de l'EHPAD dans lequel elle séjournait. Michèle dit que n'ayant plus de famille autour d'elle,  cette situation lui convient. 
Nous souhaitons profiter du fait que nous sommes tout près de Montmorency pour rendre une petite visite à Florent et Sonia et nous disons au revoir à Michèle et à sa Maman qui s'est finalement recouchée. Lorsque je lui dit "Bonne soirée", elle qui n'a pas souri une seule fois pendant toute notre visite, se met à rire de façon assez sarcastique. Je m'en étonne et lui demande ce qui la fait rire... Elle me répond "bonne soirée !!! ... l'air de dire ... quelle bonne blague, comme si je pouvais passer une bonne soirée...
Sa réaction m'attriste beaucoup, je ne reconnais pas dans cette femme aigrie et quelque peu capricieuse, la femme douce et aimante avec ses enfants, ses petits enfants, son mari... que j'ai connue. Et le plus triste, c'est que c'est ce souvenir qu'elle laissera probablement avant tout car c'est la dernière image que nous aurons d'elle. La vieillesse est véritablement un naufrage ! 

Nous faisons donc ensuite un petit saut rapide chez Florent et Sonia après avoir commandé des pizzas et acheté des petits fours pour passer ensuite la soirée chez Didier et Catherine avec Christine. J'ai été trop frustrée hier soir de devoir rentrer précipitamment  chez Maman. J'achète également quelques petits fours salés à partager avec les enfants autour d'un petit verre de vin... tout à fait exceptionnel ! 
Cela faisait bien longtemps que je n'étais pas entrée chez eux. Florent a tenté de remédier aux problèmes d'humidité de son logement en enlevant l'enduit et en recouvrant les murs de chaux... Mais il reste encore beaucoup à faire et il manque considérablement de moyens. cela me fait de la peine mais que faire ? Je ne peux pas demander à Jp de venir faire les travaux chez Florent, et moi je ne saurais pas !  Nous avons déjà tant à faire lorsque nous venons en région parisienne. Et puis Florent a eu beaucoup de temps pour effectuer des travaux mais on peut dire qu'il fait à son rythme ! C'est à vrai dire son choix et cela les regarde tous les deux.  

Nous repartons de façon à arriver à Herblay avant le couvre-feu de 21heures qui démarre ce soir !   Joffrey et Naiané sont légalement présents et nous passons une bonne soirée même si nous n'abordons pas trop le sujet "Maman". 
Christine nous fait découvrir une application qui nous transforme en personnages de mangas... J'aime bien... plus de rides, de grands yeux et des visages enfantins 😃. Ne pourrait on pas être comme ça dans la vraie vie ! 







Lorsque nous rentrons à Bezons, nous avons de beaucoup dépassé l'heure du couvre-feu et nous espérons qu'il n'y aura pas de contrôle. Notre liberté se trouve très altérée par ces mesures que nous avons un peu de mal à comprendre.  Maman est couchée depuis longtemps et elle nous a laissé un gentil petit mot dans la cuisine 💓   



Dimanche 18 octobre: Jp n'a pas réussi à organiser une rencontre avec Edouard et Emma que je souhaiterais connaître si elle devait venir un weekend avec Edouard ou passer Noël avec nous.  Il semblerait que la relation soit quelque peu tendue entre eux . Nous préparons un déjeuner à partager avec Maman puis nous jouons au scrabble tous les trois ce qui lui fait grand plaisir. Nous reprenons ensuite la route pour la Normandie. Nous testons un trajet sans péage qui passe par l'Aigle où nous nous arrêtons pour dîner dans une pizzeria.   

 

Lundi 19 octobre au Mardi 20 octobre: Quel plaisir de retrouver notre petit chez nous qui devient de plus en plus chaleureux de jour en jour. Le soleil est revenu mais il y a beaucoup de vent. Mardi , c'est même carrément la tempête. Les feuilles recouvrent la pelouse et la terrasse. Jp poursuit son laborieux travail dans le placard de la salle de bains de l'étage.
Catherine a passé la journée de lundi en hôpital de jour, elle a un autre RV jeudi pour poursuivre ses examens. Elle a rencontré la neurologue qui lui a dit qu'elle était une miraculée, qu'elle devait apprendre à vivre avec ses séquelles et qu'elle s'en sort très bien compte tenu de ce qu'elle a eu. Elle lui a prescrit un nouveau médicament pour ses migraines. . 



Mercredi 21 octobre: Jp parvient enfin à terminer le placard de la salle de bains de l'étage et il pose l'étagère de la buanderie. Une technicienne de la société Elivie délivre l'appareil pour le traitement PPC de Jp. C'est un masque nasal relié à un appareil de ventilation que Jp devra porter toutes les nuits en veillant à ce qu'il n'y ait pas de fuites. Lorsque nous nous déplacerons, une petite mallette est prévue pour l'emporter avec nous. Pour le camping ou les refuges du chemin de Compostelle dont nous aimerions bien faire un petit bout, cela risque d'être compliqué 😢. Le moral de Jp en prend un grand coup, d'autant plus que le traitement est à envisager à vie ! 



Jeudi 22 octobre: La première nuit de Jp appareillé n'a pas été facile. Il faut qu'il s'habitue à avoir un masque sur le nez toute la nuit ! Mais il a l'impression d'être plus reposé et c'est le but !  Et moi, j'ai juste l'impression de dormir avec Dark Vador 😏. 
Nous nous rendons à la déchetterie, nous effectuons quelques courses puis nous commençons à ranger pulls et affaires d'été dans le placard qui vient d'être terminé, ce qui va nous permettre de libérer l'armoire de l'entrée, d'y fixer une seconde penderie pour les manteaux... chacun son côté ! 
La pandémie continue à progresser et 58 nouveaux départements entreront en couvre-feu à compter de demain à minuit, dont le Calvados 😢 



Vendredi 23 octobre: Je profite d'une accalmie pour tondre la pelouse pour la dernière fois de la saison et enlever une partie des feuilles qui sont tombées. Jp quant à lui pose une tringle dans l'armoire de l'entrée et commence à dévier l'éclairage du mur sur lequel se trouve notre meuble porte-manteaux afin de pouvoir fixer la patère achetée au salon des antiquités de Saint-Pierre-sur-Dives. Mais aïe aïe, il faut faire des trous  et je n'aime pas trop ça ! 
Le couvre-feu entre en vigueur à minuit alors que le nombre de décès s'élève aujourd'hui à près de 300 😢



Samedi 24 octobre:  Après la tonte d'hier, je dois attaquer le repassage pendant que Jp pose la patère. 




Le
préfet de région instaure, en plus du couvre-feu, la fermeture complète des bars  dans le Calvados et en Seine Maritime.  Nous comptions nous rendre au Havre demain pour un parcours Street Art. Il va nous falloir prendre nos précautions car les bars fermés, les pauses toilettes sont difficiles surtout pour les dames  😪 . Cette pandémie commence à nous peser , sans compter toutes les conséquences économiques que vont entraîner toutes ces fermetures ! 
  


Dimanche 25 octobre: Malgré le temps incertain, le couvre-feu et la fermeture des bars, nous partons en fin de matinée en direction du Havre. Il faut bien continuer à vivre ! Pour anticiper les problèmes de toilettes 😏 , nous commençons par déjeuner au bistrot parisien, tout près de l'hôtel de ville... Mais nous sommes dimanche et l'établissement est bondé. Nous avons tout de même pu avoir une table à l'intérieur et non dans la terrasse couverte et nous ne sommes pas très à l'aise dans cette salle dans laquelle la promiscuité laisse craindre que le virus puisse circuler librement, d'autant plus qu'à table on ne garde pas le masque !  
Nous sommes rassurés de ressortir à l'air libre et nous partons à la recherche des quelques 200 œuvres murales de la ville  : les Gouzous de Jace, les poissons de Teuthis, les personnages au troisième œil d'Alex Face, les peintures colorées de Mascarade ... 
Nos pas nous mènent en centre-ville, face au bassin du commerce, rue de paris devant la Cathédrale Notre-Dame, la principale église de la ville, détruite partiellement lors des bombardements du 5 septembre 1944 et reconstruite grâce à Auguste Perret, devant le Museum d'histoire naturelle où nous découvrons Monsieur Goéland, une sculpture en bronze haute de 6 mètres, œuvre de Stephan Balkenhol ... avant de nous conduire en périphérie de la ville, parapluie sous le bras !   











Voici quelques unes des œuvres découvertes sur notre parcours, de Teuthis et ses collages qui illustrent la faune marine, Alex Face et ses personnages au troisième œil, Mascarade qui dit merci au personnel soignant face à la pandémie, Jace et son Gouzou face aux dangers du réchauffement climatique. 











La tombée de la nuit nous arrête vite dans notre élan, nous sommes passés cette nuit à l'heure d'hiver ! Nous rentrons donc bien avant l'heure du couvre-feu. 

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